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Page créée en avril 2020
Vierge à l'Enfant assise, fin du XVe siècle

Le musée d'Épinal est l'un des plus anciens musées de France. Créé sous la Restauration, en 1822, son but officiel était d'exposer la collection des Princes de Salm. En fait, c'est la collection personnelle du créateur du musée, le duc de Choiseul-Stainville (1760-1838), président du Conseil Général des Vosges, qui y entra la première. Le peintre Jean-Antoine Laurent (1763-1832) en fut nommé conservateur. L'ouverture au public eut lieu six ans plus tard.
En 1825, le duc de Choiseul-Stainville proposa au Conseil Général des Vosges d'acquérir une collection de 29 tableaux provenant du peintre Krantz, originaire de Nancy. Le Conseil Général accepta, mais le ministre de l'Intérieur s'y opposa. Toutefois, le duc ne voulait pas voir le musée privé de cette collection à cause, selon ses propres termes, «d'une mauvaise volonté». Il n'hésita pas à l'acheter de ses deniers et la déposa au musée. En 1829, il fit don au Département des Vosges de 25 tableaux sur les 29. Excepté le chef d'œuvre de Georges de La Tour, Job et sa femme, les historiens de l'art n'attribuent guère de valeur artistique à cette collection. Bien des tableaux avaient d'ailleurs reçu à l'époque une attribution d'auteur assez fantaisiste.
La collection des Princes de Salm, qui avait été confisquée en 1793, lorsque la France révolutionnaire s'était emparée de la principauté, avait été déposée à Épinal en 1796. Le dépôt fut complété en 1799-1800 par l'arrivée d'une collection de moulages et de dessins envoyée de Paris sous l'autorité du ministre de l'Intérieur, François de Neufchâteau. Enfin, plus insolite, une boîte contenant 289 espèces de graines et de plantes sélectionnées par le Museum d'Histoire naturelle de la capitale arriva au dépôt. Son but ? Créer un jardin botanique à côté du musée départemental. Ce jardin fut ouvert à la promenade publique jusqu'au milieu du XXe siècle. La salle qui avait servi à exposer les collections de botanique, de minéraux et de zoologie pendant un siècle devint lieu d'exposition de l'Imagerie populaire au début des années 1950.
À son ouverture au public, en 1828, le musée comptait donc les toiles offertes par le duc de Choiseul-Stainville, la collection des Princes de Salm (qui arriva graduellement en 1828 et en 1829), un jardin botanique, mais également des pièces archéologiques issues de plusieurs sites des Vosges. Étaient aussi exposés des machines et des outils du monde rural et industriel. Le rôle de ces machines était de faire connaître aux visiteurs les possibilités d'amélioration de la production. À la fin des années 1820, en France, la Révolution industrielle ne faisait que démarrer et la ville d'Épinal s'inscrivait toujours dans un cadre rural traditionnel.
Le musée a subi une large rénovation en 1992. La brochure remise pour la visite du musée parle de 30 000 objets et œuvres d'art conservés. Mais, en parcourant les salles, on s'aperçoit qu'il y a facilement de quoi exposer deux fois plus d'œuvres ! Les salles sont en effet assez dépouillées. Ce qui n'est pas exposé mérite-t-il de l'être?
Cette page vous propose quelques vues des salles du musée avec des photos de peintures et de sculptures, ces dernières essentiellement médiévales.

«L'Amour et l'Amitié» de Louis Jean François Lagrenée (1725-1805)
Salle exposant des œuvres du Moyen-Age avec sa cheminée de 1583
Salle avec cheminée Renaissance de 1583 et œuvres du Moyen-Age.
L'entrée du musée départemental
L'entrée du musée départemental.
Pierre tombale de Jehan Chintrel
Pierre tombale de Jehan Chintrel
Prévôt de Lamarche (Vosges)
XVe siècle.
Saint Antoine, abbé. Pierre calcaire
Saint Antoine, abbé. Pierre calcaire.
Patron des Antonins, des pompiers et des charcutiers. Époque médiévale.
Sculptures médiévales dans un ensemble très dépouillé.
Sculptures médiévales dans un ensemble très dépouillé.
Sculptures romaines «Esus et Cernnunos» (Époque  de Claude)
Sculptures romaines «Esus et Cernnunos» (Époque de Claude).
«Le Péché originel», pierre sculptée du  XVIe siècle
«Le Péché originel», pierre sculptée du XVIe siècle.
(Vient du château de Fontenoy-le-Château).
Vue de l'univers tout en béton du musée d'Épinal
Vue de l'univers tout en béton du musée d'Épinal.
Cavalier écrasant un ennemi
Cavalier écrasant un ennemi.
Retable de la Passion et des douze apôtres
Retable de la Passion et des douze apôtres.
Fin du XVIe siècle. Pierre calcaire.
Hermaphrodite
Hermaphrodite.
Art gréco-romain
Style hellénistique.
Stèle dite de Méditrina
Stèle dite de Méditrina.
IIe siècle, calcaire.
Saint Pierre, Art rhénan, XIIIe siècle,
Saint Pierre, Art rhénan, XIIIe siècle,
découvert à Igney (Vosges).
Sainte Barbe, XVIIe siècle,
Sainte Barbe, XVIIe siècle,
calcaire dur.
Cheminée Renaissance de 1583 en calcaire.
Cheminée Renaissance de 1583 en calcaire.
Provient de Jubainville dans les Vosges.
L'écu sculpté, au centre de l'entablement, a été bûché à la Révolution.
Vierge à l'Enfant assise
Vierge à l'Enfant assise.
Rhin supérieur
Fin du XVe siècle, bois polychromé.
Vient de Saint-Michel sur Meurthe.
Ecce Homo
Ecce Homo
XVIe siècle.
(Cimetière de Fontenoy-le-Château)
Un seigneur à cheval, XVe siècle, église de Girmont
Un seigneur à cheval, XVe siècle, église de Girmont.
Vierge de pitié avec saint Jean et Marie-Madeleine
Vierge de pitié avec saint Jean et Marie-Madeleine,
Lorraine, début du XVIIe siècle, calcaire, reste de polychromie.
Vue d'une salle avec sculptures et bas-reliefs médiévaux.
Vue d'une salle avec sculptures et bas-reliefs médiévaux.
Retable du début du XVIe siècle (deux pierres superposées en calcaire)
Retable du début du XVIe siècle (deux pierres superposées en calcaire).
(Vient de l'ermitage Sainte-Anne à Godoncourt.)
Refus du présent de Joachim par le grand prêtre
Détail du retable ci-dessus : Refus du présent de Joachim par le grand prêtre
et Apparition de l'ange à Joachim.
Annonce à Anne et Rencontre à la Porte Dorée.
Détail du retable ci-dessus : Annonce à Anne et Rencontre à la Porte Dorée.
Naissance de la Vierge et Présentation de Marie au temple
Détail du retable ci-dessus : Naissance de la Vierge et Présentation de Marie au temple.
Vierge à l'Enfant assise, détail
Vierge à l'Enfant assise, détail.
Rhin supérieur
Fin du XVe siècle, bois polychromé.

«««--- Une salle du musée avec cloches.

Au vu du dépouillement des salles, le visiteur est en droit
de se demander s'il y a beaucoup d'œuvres d'art
dans les réserves du musée...

LES COLLECTIONS DE PEINTURE
«L'Adoration des Bergers» de Stefano Dall'Arzere (1515-1575)
«L'Adoration des Bergers»
Stefano Dall'Arzere (1515-1575).
Huile sur toile.
«La Sainte Famille» de Joos van Cleve (ou d'après), (vers 1484–1540)
«La Sainte Famille» de Joos van Cleve (ou d'après ?) (vers 1484-1540).
Huile sur bois, Collection des PRINCES DE SALM
«Tête de vieillard», anonyme italien, milieu du XVIe siècle
«Tête de vieillard», anonyme italien, milieu du XVIe siècle.
Huile sur bois, Collection des PRINCES DE SALM
«L'Hiver» tableau à la manière de de Jan I Brueghel dit Brueghel de Velours (1568–1625)
«L'Hiver» tableau à la manière de de Jan I Brueghel dit Brueghel de Velours (1568-1625).
Huile sur bois
Collection des PRINCES DE SALM
«L'Embarquement de sainte Paule à Ostie»
«L'Embarquement de sainte Paule à Ostie»
Claude Gellée (1600-1682), huile sur toile.

La collection des princes de Salm (1/2). La principauté de Salm est un territoire vosgien, près du nord de l'Alsace. Elle tire son nom d'une petite rivière de l'Ardenne belge. L'abbaye bénédictine de Senones, qui tirait profit de l'exploitation du bois et du fer, en était l'un des points d'ancrage. Dès le XIIe siècle, une lutte féroce opposa les moines bénédictins à leurs protecteurs laïcs, les comtes de Salm. Ceux-ci affirmèrent rapidement leur emprise sur la région en faisant ériger deux châteaux : celui de Pierre-Percé près de Senones, puis celui de Salm, près de Schirmeck en Alsace. Les revenus tirés du bois et du fer attisaient la cupidité des comtes. En 1571, une coalition de deux rhingraves (liés aux Salm par alliance) et du comte de Salm, Jean IX, mit au pas le monastère : ils l'investirent manu militari, réunirent la population et exigèrent un serment d'obéissance. De fait, ils étaient devenus les seigneurs de la contrée. Le traité intitulé Le Partage de 1598 officialisa la répartition des terres entre les rhingraves d'un côté et le comte de Salm de l'autre. Malgré des frictions inévitables, il durera jusqu'en 1751.
En 1597, une alliance matrimoniale fit passer les terres de Salm sous l'autorité de la maison de Lorraine ; en 1623, celles des rhingraves devenaient principauté. En 1719, le prince de Salm, Nicolas-Léopold, épousa une lointaine cousine. Cette union de deux branches de la famille des Salm fut à l'origine du nom de Salm-Salm que portent encore ses descendants.
Mais l'avenir s'annonçait sombre. Le traité de Vienne de 1738 prévoyait que, au décès du nouveau duc de Lorraine, Stanislas Leszczynsky, le duché reviendrait   ---»» 2/2

La collection des princes de Salm (2/2)  --»» à la France. Et donc aussi les terres de Salm ! Ce puissant voisin inspirait la crainte, d'autant plus que Versailles ne cachait pas sa volonté de tout absorber : terres de Salm et terres des rhingraves.
En réaction et avec l'accord de Stanislas, des négociations aboutirent en 1751 à la création d'une principauté de Salm autonome. Avec Senones comme capitale. Elle recouvrait peu ou prou le territoire concédé à l'abbaye bénédictine au VIIe siècle (un peu plus de 400 km2). Mais la très mauvaise gestion des princes laissait la population de Salm dans la misère ; des troubles agitèrent le territoire dès l'été 1789. En 1792, la Convention de la République française interdit l'exportation des grains. Pour Salm, cela signifiait ni plus ni moins que la famine. La principauté n'eut pas le choix et vota sa réunion à la France le 24 février 1793, une décision qui fut entérinée le 2 mars par la Convention. C'en était fini de la principauté de Salm dans les Vosges.
La collection des princes de Salm naît avant tout de la passion de collectionneur de Louis-Charles Othon, prince de Salm de 1770 à 1778. Ce qui d'ailleurs endetta considérablement le budget de la principauté. Analyser l'origine des œuvres est un vrai défi car le premier inventaire ne date que de 1778. Quand et comment les toiles vinrent en possession du prince? C'est un mystère. Un seul cas est sûr : les portraits du dauphin et de la dauphine offerts par le roi de France (qui relèvent des cadeaux habituels entre souverains). Autre cas un peu singulier : la présence des œuvres du peintre italien Pietro Labruzzi est issue sans doute des rapports privilégiés entre le prince Louis-Charles Othon et l'artiste.
En 1793, le château de Senones et la collection furent mis sous séquestre par les envoyés de la Convention. Puis, en 1796, le Département envoya les livres précieux et les tableaux à Épinal pour qu'ils servent de base à un museum central. En 1800, les œuvres rejoignirent la préfecture, plus précisément la salle du Conseil et les appartements du préfet. Ce fut l'époque des premières disparitions. Mais l'événement le plus fâcheux fut l'incendie du grand salon de la préfecture des Vosges qui détruisit quarante tableaux. D'autres disparitions allaient suivre, conséquence de l'invasion de l'armée alliée à la chute de l'Empire et, sans doute aussi, de la mise à l'abri de certaines toiles chez des particuliers qui oublièrent par la suite de signaler leur zèle... Seule la création du musée en 1822 mettra un terme à ces déprédations.
Pour les érudits, la collection des princes de Salm, hétéroclite, n'a pas vraiment de fil directeur. S'y côtoient des œuvres d'une valeur bien différente, mais il est vrai que le XVIIIe siècle n'analysait pas les peintures avec les critères d'aujourd'hui. Vingt et un tableaux de la collection se trouvent en Allemagne, au château d'Anholt, ancien fief des princes de Salm ; d'autres à l'abbaye de Senones, d'autres enfin au musée d'Épinal.
Source : La Collection des Princes de Salm, brochure éditée par la Direction Régionale des Affaires culturelles de Lorraine, 1993.

«Mercure et Hersé»
«Mercure et Hersé»
Laurent de La Hyre (1606-1656).
Huile sur bois
Collection des PRINCES DE SALM
«Nature morte» d'Alexandre François Desportes (1661-1743)
«Nature morte»
Alexandre François Desportes (1661-1743)
Huile sur toile
Collection des PRINCES DE SALM
«Mater Dolorosa»
«Mater Dolorosa»
Rembrandt Harmensz van Rijn dit Rembrandt (1606-1668).
Huile sur bois, Collection des PRINCES DE SALM
«Paysage àla cascade» de Gerard van Nymegen (1735-1808)
«Paysage à la cascade»
Gerard van Nymegen (1735-1808)
Huile sur bois.
«Paysage» d'Adrian van Stalbemt (1580-1662)
«Paysage»
Adrian van Stalbemt (1580-1662)
Huile sur bois, Collection des PRINCES DE SALM
«Paysage»
«Paysage»
Jan Josefsz van Goyen (1596-1656).
Huile sur bois, Collection des PRINCES DE SALM
«Allégorie» (de l'Histoire)
«Allégorie (l'Histoire?»
Simon Vouet (1590-1649).
Huile sur toile, Collection des PRINCES DE SALM
«Le Christ mis au tombeau»
«Le Christ mis au tombeau»
Simon Vouet (ou son atelier).
Huile sur toile, Collection des PRINCES DE SALM
«La Vengeance de Latone»
«La Vengeance de Latone»
Jean Jouvenet (1644-1717).
Huile sur toile, Collection des PRINCES DE SALM
«Job et sa femme»
«Job et sa femme»
Georges de la Tour (1593-1652), huile sur toile.
«La Vengeance de Latone», détail
«La Vengeance de Latone», détail
Jean Jouvenet (1644-1717).
Huile sur toile
Collection des PRINCES DE SALM

La Vengeance de Latone. Dans la mythologie grecque, Latone est la fille du titan Koïos. Elle fut aimée de Zeus dont elle eut deux enfants : Apollon et Diane. Mais Héra (ou Junon pour les Romains) la poursuivait de son esprit vengeresse. La déesse avait lancé contre elle le serpent Python. Et Latone fuyait sans cesse. L'histoire raconte qu'elle arriva un jour en Lycie et voulut se reposer au bord d'un étang. Les habitants de l'endroit décidèrent de l'en chasser. Alors elle implora l'aide de Zeus qui la vengea : ceux qui avaient refusé de lui accorder l'hospitalité furent transformés en grenouilles.
Source : La Collection des Princes de Salm, brochure éditée par la Direction Régionale des Affaires culturelles de Lorraine, 1993.

Vue d'une salle avec des tableaux du XVIIIe siècle.
Vue d'une salle avec des tableaux du XVIIIe siècle.

«La Vierge adorant l'Enfant Jésus endormi» ---»»»
Jacques Stella (1596-1657), huile sur marbre noir.

«Bataille»
«Bataille»
Sébastien Vrancs (1573-1647).
Huile sur bois, Collection des PRINCES DE SALM
«Diane au retour de la chasse», Hendrick van Balen (1575-1632)
«Diane au retour de la chasse», Hendrick van Balen (1575-1632).
Huile sur bois, Collection des PRINCES DE SALM
Vitrine avec croix et statues des Vosges.
Vitrine avec croix et statues des Vosges.
Neuf des dix statues proviennent de la chapelle
de l'Ermitage Sainte-Anne de Godoncourt.
La dixième, étagère du milieu à droite, vient de Lamarche dans les Vosges.
«Ecce Homo»
«Ecce Homo»
Pierre Mignard (1612-1695)
Huile sur toile ovale.
«Mater Dolorosa»
«Mater Dolorosa»
Pierre Mignard (1612-1695)
Huile sur toile ovale.
«Paysage»
«Paysage»
Adrian Frans Boudewyns (pour le paysage) 1644-1711),
et Pieter Bout (pour les figures) (1658-1702).
Huile sur toile
Collection des PRINCES DE SALM
«Ecce Homo», détail
«Ecce Homo», détail
Pierre Mignard (1612-1695).
«Mater Dolorosa», détail
«Mater Dolorosa», détail
Pierre Mignard (1612-1695).
«Ermites tourmentés par les démons»
«Ermites tourmentés par les démons»
Sebastiano Ricci (1660-1734).
Huile sur toile, Collection des PRINCES DE SALM
«Ermites tourmentés par le diable»
«Ermites tourmentés par le diable»
Sebastiano Ricci (1660-1734).
Huile sur toile, Collection des PRINCES DE SALM
«Portrait de femme âgée»
«Portrait de femme âgée»
Balthazar Denner (1685-1749), huile sur toile.
«Scène de bataille»
«Scène de bataille»
Joseph Parrocel (1646-1704).
Huile sur toile, Collection des PRINCES DE SALM
«Portrait du comte d'Artois (futur Charles X)»
«Portrait du comte d'Artois (futur Charles X)»
Louis-Michel Van Loo (1707-1771), huile sur toile.
«Enfant endormi sur une croix»
«Enfant endormi sur une croix»
Corneille van Clève (1645-1732), marbre.
Collection des PRINCES DE SALM
Salle des dessins et pastels de la Collection Paul Oulmont
Salle des dessins et pastels de la Collection Paul Oulmont.
«Le Repos de la Sainte Famille en Égypte»
«Le Repos de la Sainte Famille en Égypte»
Carlo Labruzzi (1747-1818), huile sur cuivre, Coll des Princes de Salm.
Huile sur cuivre, Collection des PRINCES DE SALM
«L'Amour et l'Amitié»
«L'Amour et l'Amitié»
Louis Jean François Lagrenée (1725-1805).
Huile sur cuivre.
Intérieur du musée
Intérieur du musée.
Fontaine décorative et son bassin (vers 1810-1820)
Fontaine décorative et son bassin (vers 1810-1820)
Faïence fine à marbrure dans la pâte (dite "en cailloutage")
Fabrique des frères Roch à Gérardmer
(en activité de 1805 à 1847).
«Portrait de jeune homme»
«Portrait de jeune homme»
Louis Donvé (1760-1802).
Huile sur bois.
«Portrait de jeune femme»
«Portrait de jeune femme»
Anonyme français, fin XVIIe siècle - XVIIIe siècle.
Huile sur toile.
L'«ART» CONTEMPORAIN
Une vue de la salle d'«Art» contemporain
Une vue de la salle d'«Art» contemporain.
Au centre, «S» de Tony Cragg.
«Counter II»
«Counter II»
de Richard Artschwager.
«Table»
«Table»
Dorothée Selz.

Documentation : «Musée départemental d'art ancien et contemporain», brochure de la visite
+ «Hommage au duc de Choiseul-Stainville (1760-1838)» édité par le Conseil général des Vosges, 1995
+ «La Collection des Princes de Salm» édité par la Direction Régionale des Affaires culturelles de Lorraine, 1993.
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