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Page créée en sept. 2011
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«Le vœu de Louis XIII» de Carl Vanloo dans le chœur

L'édifice est la chapelle de l'ancien couvent des Augustins. La construction commence en 1629 avec l'architecte Pierre le Muet (1591-1669). Louis XIII en pose la première pierre et dédie l'église à Notre-Dame-des-Victoires en raison de ses succès militaires, notamment lors du siège de la Rochelle. Cent onze ans et quatre autres architectes seront nécessaires pour la terminer. C'est Jean-Sylvain Cartault (1675-1758) qui achèvera le sanctuaire, enfin consacré en 1740.
Le couvent possédait une bibliothèque de quarante-mille ouvrages. À la Révolution, il est fermé. L'église est occupée par les bureaux de la Loterie nationale, puis par la Bourse. Elle est rendue au culte en 1809. Les bâtiments conventuels, eux-mêmes, sont détruits en 1859. Pendant la Commune, l'église est à nouveau pillée et saccagée.
À la suite d'une «locution intérieure» reçue par l'abbé Dufriche-Desgenettes en 1836, Notre-Dame-des-Victoires est consacrée au Cœur Immaculé de la Vierge. L'abbé crée une association dont un des buts premiers est la conversion des pécheurs. En 1838, l'association devient archiconfrérie patronnée par Notre-Dame des Sept Douleurs, approuvée par le pape Grégoire XVI. En 1927, l'église est élevée au rang de basilique mineure par le pape Pie XI.
Notre-Dame-des-Victoires est un haut lieu de dévotion. Fait unique à Paris, ses parois sont couvertes d'environ trente-sept mille ex-voto en remerciement à la Vierge. Enfin, l'église possède un chœur richement doté de sept tableaux de Carl Vanloo (1705-1765). Six d'entre eux sont consacrés à la vie de saint Augustin. En 1778, Mozart a prié dans cette église.

Vue d'ensemble de la nef et du chœur
Vue d'ensemble de la nef et du chœur .

Architecture. La longueur totale de l'église est de 62 mètres pour une largeur de 24,50 mètres. La hauteur de la voûte est de 15 mètres. L'église est de style classique. On remarque la corniche à modillons et roses, et ses pilastres d'ordre ionique.
S'y juxtapose un style rocaille fait de guirlande, de coquilles et d'angelots.

La façade vue depuis la place des Petits-Pères
La façade vue depuis la place des Petits-Pères.

Construite en 1737 par Jean-Sylvain Cartault, elle présente deux niveaux :
pilastres d'ordre ionique en bas, pilastres d'ordre corinthien en haut.
Chérubins au-dessus du portail central
Chérubins au-dessus du portail central.
Le fronton du sommet de la façade
Le fronton du sommet de la façade.
Sculpté par Charles Rebillé (né en 1760), il arbore en son centre un écusson aux armes de France.
LES CHAPELLES LATÉRALES
Chapelle en mémoire de sainte Thérèse de Lisieux
Chapelle en mémoire de sainte Thérèse de Lisieux
surmontée du vitrail des ateliers Mauméjean (voir à droite).

Les Fonts baptismaux
Les Fonts baptismaux dans l'entrée de l'église
Ils sont en marbre (XVIIe siècle).


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Sainte Thérèse de Lisieux
En 1887, avant de partir à Rome pour demander
au pape l'autorisation d'entrer au carmel de Lisieux,
la jeune fille vient prier à Notre-Dame-des-Victoires
avec son père et sa sœur.
«Le Pèlerinage de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus»
Chapelle en mémoire de sainte Thérèse de Lisieux.
Vitrail des ateliers Mauméjean : «Le Pèlerinage de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus à la Basilique en 1887» (daté de 1931)
Bas-côté gauche avec ses ex-voto
Bas-côté gauche avec ses ex-voto.
L'autel de la chapelle Saint-Jean l'Évangéliste
L'autel de la chapelle Saint-Jean l'Évangéliste.
Les portraits sont ceux des parents de sainte Thérèse.

Le cénotaphe de Jean-Baptiste Lulli
Lulli habitait rue des Petits-Champs et fut enterré dans l'église. Son tombeau, exécuté en 1687 sous la direction de Pierre Cotton, a été démoli lors de la Commune. Ce qui restait de la tombe a été replacé entre les chapelles Saint-Jean et de la Sainte-Enfance. (Source : «Notre-Dame des Victoires, histoire et message», brochure en vente dans l'église)
À gauche et à droite sont assises deux pleureuses représentant la Poésie et la Musique. Sur le socle supérieur : deux statues d'enfants (ou génies pleurant). Au sommet trône le buste de Lulli en bronze, œuvre attribuée à Jean Collignon. De l'autre côté, on trouve un buste dit de Lulli attribué à Coysevox (XVIIe siècle), voir plus bas.

Bas-relief de Jacquier daté de 1878
Chapelle Sainte-Anne
Bas-relief de Jacquier daté de 1878
«L'Éducation de la Vierge» (partie supérieure)

Rappelons la liste des Sept Douleurs de la Vierge :
la Prophétie de Siméon, la Fuite en Egypte, la Perte de l'Enfant Jésus resté dans le Temple au milieu des docteurs, le Portement de croix, la Crucifixion, la Descente de croix et la Mise au Tombeau.
Voir une autre Vierge aux Sept Douleurs au musée d'Art sacré de Dijon.
«La Vierge aux Sept Douleurs»
Vitrail dans la nef
«La Vierge aux Sept Douleurs»
Cliquez sur l'image pour afficher le vitrail en entier.
Chapelle latérale Saint-Joseph
Chapelle latérale Saint-Joseph.
Cénotaphe de Jean-Baptiste Lulli
Cénotaphe de Jean-Baptiste Lulli (1632-1687) sur un fond d'ex-voto
entre la chapelle Saint-Jean et la chapelle de la Sainte-Enfance.
Élévations gauches dans la nef Chapelle Saint-Jean
Chapelle Saint-Jean (1885)
Statue de saint Jean l'Évangéliste en fonte dorée.

«««--- À GAUCHE
Élévations gauches dans la nef
avec les invocations des litanies de la Vierge sur la corniche.
Vitrail «Anne et Marie»
Vitrail dans la nef
«Anne et Marie»
Cliquez sur l'image pour afficher le vitrail en gros plan.
Chapelle de Notre-Dame des Sept Douleurs
Chapelle de Notre-Dame des Sept Douleurs.

Les huit vitraux de la nef suivent un schéma commun : ils sont ceinturés d'une guirlande à thèmes décoratifs. Le fond est constitué d'une grisaille à base de trèfles sur lequel se détachent un ou deux personnages centraux. Ces vitraux laissent passer peu de lumière. En été, le grand portail de la basilique est toujours ouvert pour apporter un peu de clarté à la nef. En revanche, le transept et le chœur sont toujours assez sombres. La galerie des vitraux+ donne sept de ces huit vitraux, le huitième étant en attente de restauration (sept. 2011).

Piéta dans la chapelle de Notre-Dame des Sept Douleurs
Piéta dans la chapelle de Notre-Dame des Sept Douleurs.
Bas-relief en pierre de Caen réalisée par Charles Gonthier, daté de 1876 .
L'autel de la chapelle du Sacré-Cœur et son retable
L'autel de la chapelle du Sacré-Cœur et son retable.
Les boiseries datent du XVIIe siècle.
Bas-relief : L'apparition du Sacré-Cœur
Bas-relief : L'apparition du Sacré-Cœur à Marguerite-Marie . Alacoque à Paray-le Monail. Œuvre de Jacquier (1870)
Tombeau de Jean Vassal
Chapelle Saint-Joseph
Tombeau de Jean Vassal (receveur général des Finances du Languedoc)
Œuvre en marbre de Pierre Gois (1770).
Chapelle de la Sainte Enfance
Buste dit de Lulli attribué à Antoine Coysevox
Buste dit de Lulli dans le bas-côté gauche
attribué à Antoine Coysevox (1640-1720).

«««--- À GAUCHE
Chapelle de la Sainte-Enfance avec sa statue de 1885
Les boiseries sont du XVIIe siècle.
Vitrail dans la nef «Le Baptême de Jésus»
Vitrail dans la nef «Le Baptême de Jésus»
Cliquez sur l'image pour afficher le vitrail en gros plan.
Élévations droites dans la nef
Élévations droites dans la nef avec ses pilastres d'ordre ionique et son entablement.
La corniche est ornée des invocations des litanies de la Vierge.
LES EX-VOTO DE LA BASILIQUE NOTRE-DAME-DES-VICTOIRES
Passage couvert d'ex-voto dans un bas-côté
Passage couvert d'ex-votos dans un bas-côté.
Ex-voto latin et français
Ex-voto latin et français
Remerciement à la Vierge pour un bébé
âgé de deux mois, enlevé et retrouvé.
1859
Panneaux d'ex-voto en forme de cœurs
Panneaux d'ex-voto en forme de cœurs
dans le croisillon gauche du transept.

Les 37 000 ex-voto de ND-des-Victoires sont, avant tout, des plaques de marbre qui recouvrent les bas-côtés et le transept, mais également des milliers de cœurs, des vitraux, des médailles militaires et des décorations. Les ex-voto sont en français, anglais, allemand, polonais, espagnol, portugais, etc. Fidèle au principe de l'Archiconfrérie, la conversion est le principal sujet de reconnaissance.

Ex-voto en français
Ex-voto en français.
Retour à la religion d'un artiste. Notre-Dame-des-Victoires a
consacré une partie de ses missions à la conversion.
Ex-voto en allemand
Ex-voto en allemand.
«Merci à la Sainte Vierge. Elle m'a offert un fils et,
pendant la guerre, elle a protégé mon mari. (1866)»
Confessionnal
Confessionnal (vraisemblablement du XIXe siècle)
Il cache plusieurs dizaines d'ex-voto.
Ex-voto français
Ex-voto français
Guerre de 1870.
Ex-voto en anglais
Ex-voto en anglais.
La chaire à prêcher
La chaire à prêcher de Louis Régnier (1739).
Le banc d'œuvre
Le banc d'œuvre. Œuvre de Grienwald, 1864.

«««--- À GAUCHE
La chaire à prêcher est l'œuvre du sculpteur Régnier (XVIIIe siècle)
La père Lacordaire est venu y prêcher entre 1848 et 1850.
Ex-voto polonais
Ex-voto polonais.
Ex-voto français
Ex-voto français
Guerre d'Italie (1859)
LES CHAPELLES DU TRANSEPT
La chapelle de la Vierge
La chapelle de la Vierge consacrée au Très Saint et Immaculé Cœur de Marie
Sous l'autel se trouve une partie des reliques de sainte Aurélie, victime des persécutions sous l'empereur Valérien.
On lit dans la brochure en vente dans l'église qu'il existait une première chapelle de la Vierge, financée par Louis XIV, avec une statue
vêtue d'un manteau blanc, le front ceint d'une couronne d'or. Elle a disparu à la Révolution avec tous les trésors de l'église.
«Notre-Dame Refuge des pécheurs»
Vitrail dans la chapelle de la Vierge
«Notre-Dame Refuge des pécheurs»
Ce vitrail présente le message spirituel de l'église.

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«L'Annonciation» de Charles-Louis Müller
Chapelle de la Vierge
«L'Annonciation» de Charles-Louis Müller (1815-1892)
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Statue de la Vierge à l'Enfant
Chapelle de la Vierge
Statue en plâtre durci de la Vierge à l'Enfant (XIXe siècle)
Auteur anonyme
Statue de la Vierge à l'Enfant
Statue de la Vierge à l'Enfant (Partie supérieure)
Rappelons qu'une Vierge ne peut être couronnée que par autorisation expresse du pape, à la suite d'une étude minutieuse.
La chapelle de la Vierge La chapelle Saint-Augustin
La chapelle Saint-Augustin
Croisillon gauche du transept et ses peintures dues à Jules Pasqualini.

«««--- À GAUCHE
La chapelle de la Vierge dans le croisillon droit du transept
surmontée du vitrail : «Notre-Dame Refuge des pécheurs»
Statue de saint Augustin
Chapelle Saint-Augustin
Statue de saint Augustin en plâtre par Jean-Bernard
Duseigneur (1849). Elle remplace une statue de Jean-Baptiste Pigalle disparue à la Révolution.
«Pie IX proclame le dogme de l'Immaculée Conception»
Chapelle Saint-Augustin
Tableau «Pie IX proclame le dogme de l'Immaculée Conception»
par Jules Pasqualini (v. 1820-1886)
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La coupole à la croisée
La coupole à la croisée du transept est ornée d'une gloire.
«Le vœu de Louis XIII»
Vitrail dans la chapelle Saint-Augustin
«Le vœu de Louis XIII»
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Têtes d'angelots
La gloire de la coupole est constituée de têtes d'angelots
(œuvre de Charles Rebillé entre 1737 et 1740)

Le vitrail du vœu de Louis XIII et la révélation de frère Fiacre. La partie basse du vitrail (qui est visible ci-dessus à droite) illustre la vision de frère Fiacre et ses conséquences. Le manuscrit des archives du couvent des Augustins rapporte, après que frère Fiacre eut entendu le cri d'un petit-enfant : «Il tourna la tête du côté de la voix et aperçut la Sacrée Vierge environnée d'une belle et agréable lumière, ayant un enfant dans les bras, vêtue d'une robe bleue semée d'étoiles, ses cheveux pendant sur ses épaules, trois couronnes sur sa tête, assise sur une chaise et qui lui dit : "Mon enfant, n'ayez pas peur, je suis la Mère de Dieu". Sur cela, il se jeta à terre pour adorer l'enfant qu'elle tenait entre ses bras, pensant que ce fut Jésus-Christ, mais la Vierge Sacrée lui dit : "Mon enfant, ce n'est pas mon Fils, c'est l'enfant que Dieu veut donner à la France."» Cette histoire parvint aux oreilles de la Cour et du roi. La Vierge demandait trois neuvaines dans trois sanctuaires du royaume dédiés à

Notre-Dame, dont Notre-Dame des Victoires et Notre-Dame de Paris. Frère Fiacre s'acquitta de cette prière en novembre et décembre 1637. Dix mois plus tard, le 5 septembre 1638, la reine Anne d'Autriche donna naissance à un fils, Louis-Dieudonné, au château de Saint-Germain-en-Laye. À la cour, on rappela que cette naissance avait été prédite par un religieux. Frère Fiacre va consacrer sa vie, par la prière, à la famille royale, aux pauvres et à la paix et deviendra célèbre. On rapporte que, plus tard, son portrait ornera un bureau de location de voitures à cheval. Elles finiront par prendre son nom, les fameux «fiacres», ancêtres de nos taxis.

Source
: «Notre-Dame des Victoires, histoire et message» (Éditions Lescuyer), en vente à l'accueil de la basilique.

LE CHŒUR DE LA BASILIQUE NOTRE-DAME-DES-VICTOIRES
Le chœur de Notre-Dame-des-VictoiresCliquez sur le tableau pour l'afficher en gros planCliquez sur le tableau pour l'afficher en gros plan
Le splendide chœur de Notre-Dame-des-Victoires tel qu'il se présente avec ses sept tableaux de Carl Vanloo (1705-1765).
(Le petit autel au centre est celui de la croisée du transept.)
«Louis XIII dédiant l'église ND-des-Victoires  à la Vierge»
Tableau «Louis XIII dédiant l'église ND-des-Victoires à la Vierge» de Carl Vanloo.
L'autel central
L'autel central, dû à Madeleine Diener (1930-2000), est une sculpture sur bois recouverte de feuilles d'or.
L'artiste y a représenté onze grandes figures spirituelles du XIXe siècle liées à ND-des-Victoires.

Notre-Dame des Victoires possède deux représentations du «Vœu de Louis XIII» : un tableau de Carl Vanloo (XVIIIe siècle) et un vitrail du XIXe siècle. On peut voir un autre grand vitrail sur ce thème à la chapelle Saint-Vincent-de-Paul de Blois (vitrail du XVIIe siècle).
En remerciement de ce fils tant attendu (Louis-Dieudonné, le futur Louis XIV), Louis XIII fit vœu, le 10 février 1638, de consacrer «sa personne, son État, sa couronne et ses sujets» à la Vierge et de renouveler ce vœu tous les ans à la fête de l'Assomption. Dans le tableau de Carl Vanloo, le roi Louis XIII, lors de son vœu, expose à la Vierge le dessin de la façade de l'église qu'il avait promis de lui édifier. Ce sera Notre-Dame-des-Victoires.

«Saint Augustin face aux Donatistes» de Carl Vanloo
Tableau «Saint Augustin face aux Donatistes» de Carl Vanloo.
L'orgue de chœur
L'orgue de chœur.

Les six toiles de Carl Vanloo sur la vie de saint Augustin ont été peintes entre 1746 et 1755. Enlevées à la Révolution, remises en place en 1811, elles évoquent le baptême de saint Augustin, son ordination épiscopale, ses joutes oratoires avec les Donatistes, ses homélies devant l'évêque Valère, sa mort, enfin la translation de ses reliques à Pavie. Cette collection de toiles de Carl Vanloo est unique en France. Voir la galerie des vitraux+.

«La Crucifixion» par Lusson
Vitrail central du chœur
«La Crucifixion» par Lusson. Ce vitrail, daté de 1854, est
un ex-voto en remerciement d'une guérison. Il porte
les armes de la famille des La Rochefoucauld.
Cliquez sur l'image pour afficher le vitrail en gros plan.
«L'Ordination épiscopale de saint Augustin» de Carl Vanloo
Tableau «L'Ordination épiscopale de saint Augustin» de Carl Vanloo.
Le côté gauche du chœur et ses élévations
Le côté gauche du chœur et ses élévations
Les lampes (au premier plan en haut à droite) sont des ex-voto.
Les boiseries, sculptées par Bardoux, sont de la fin du XVIIe siècle.
«Le Mariage de la Vierge» de Charles des Granges, 1875
Vitrail dans le chœur
«Le Mariage de la Vierge» de Charles des Granges, 1875
Cliquez sur l'image pour afficher le vitrail en gros plan.
Crucifix en ivoire du XVIIe siècle
Le Christ en croix de l'autel
Crucifix en ivoire du XVIIe siècle.
L'orgue de tribune Chemin de croix
Le chemin de croix, en lave émaillée, date de 1872-1874.
«Jésus rencontre sa mère»
«Jésus tombe une première fois»

«««--- À GAUCHE
L'orgue de tribune est du facteur Alfred Kern. Il est daté du deuxième quart du XVIIIe siècle.
Le buffet d'orgue, dû à Louis Régnier (1739), est orné d'angelots et de vases.
La nef et l'orgue de tribune vus du chœur
La nef et l'orgue de tribune vus du chœur.

Documentation : «Paris d'église en église», Massin éditeur
+ «La Basilique de ND-des-Victoires, histoire et message», Éditions Lescuyer, brochure en vente dans l'église.
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