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Page créée en août 2022
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Jeanne d'Arc offrant la France à la Vierge Marie, détail

La ville de Chaville, entre Sèvres et Viroflay, est l'ancien fief de la famille Le Tellier, dont le marquis de Louvois, principal ministre de Louis XIV, fut l'illustre représentant. Les armoiries des Le Tellier sont encore visibles au fronton de la vieille église de Vélizy. Elles comprennent trois lézards (ou tritons) au-dessous de trois étoiles. En 1844, après la mort sans postérité du dernier marquis de Louvois, Chaville reprendra les trois lézards comme symbole héraldique de la commune.
Historique. Au IXe siècle, l'évêque de Paris, Inchade (811-832), crée une ferme métairie pour malades dans ce qui sera le futur quartier d'Ursine à Chaville. Une chapelle lui est associée. Au XIIIe siècle, la ferme devient un Hôtel-Dieu dédié à saint Jean-Baptiste. L'ensemble est détruit par Louvois en 1675.
Auparavant, vers 1200, une église paroissiale est érigée à Chaville. Quand les ressources manquent, la cure est rattachée à celle de Montreuil, près de Versailles. Mais, en 1603, une fondation créée par Michel Le Tellier, père du marquis de Louvois, en assure l'indépendance. Et, en 1626, une nouvelle église se dresse sur les fondations de l'ancienne. Après plusieurs remaniements, elle sera démolie en 1966. Le seul vestige qui nous en est parvenu est le Christ en croix visible dans la nef de l'église actuelle.
Les années 1905-1906 sont celles de l'effervescence pour l'Église de France. L'atmosphère anticléricale va de pair, à Chaville, avec les bouleversements provoqués par la ligne de chemin de fer Chaville-Vélizy, construite en 1901, et par les nouveaux lotissements qui peu à peu prennent la place des grandes propriétés. En octobre 1906 arrive à la cure Albert Bouret, un prêtre dynamique, âgé de 39 ans et tout à fait conscient de cet environnement sans précédent. Il veut une nouvelle église capable de rassembler une communauté qui s'accroît. Refusant les terrains de 500 mètres carrés qu'on lui offre, il achète, en 1909 et 1912, en son nom propre, un terrain de près de 2 300 mètres carrés en face de la nouvelle mairie. L'église à bâtir devra pouvoir accueillir un millier de fidèles. Mais la difficulté majeure tient au terrain : le calcaire sur lequel doit s'appuyer le bâtiment est à dix mètres de profondeur. Il faut donc creuser des puits de fondations croisés pour soutenir l'édifice. La construction va durer vingt ans. L'architecte Alphonse de la Richardière dirige les travaux à titre bénévole. L a première pierre est posée, en grandes pompes, le 4 juin 1911.
La première guerre mondiale interrompt totalement la construction. En 1921, une association paroissiale est créée. Elle se voit remettre les titres de propriété du terrain. À cette occasion, le père Bouret en cède deux cents mètres carrés à la commune pour y édifier un marché.
Qui paie la construction ? Ce sont les dons des Chavillois et les quêtes réalisées dans les paroisses où le père Bouret a l'occasion de prêcher pour son église. Après la guerre, avec l'augmentation du prix des matériaux, le père multiplie ses interventions à travers l'Île-de-France. En 1925, il faut lancer un emprunt.
Enfin, en mai 1926, la nouvelle église, dédiée à Notre-Dame de l'Assomption, est bénie par l'évêque de Versailles. En 1931, le clocher est achevé. Les vitraux vont suivre dans les années suivantes. Au total (édifice, clocher et vitraux), le coût avoisine les deux millions d'euros.
L'église Notre-Dame de Lourdes soulève l'intérêt par ses vitraux des années 1930 qui illustrent le cycle marial. Le peintre verrier chavillois Albert Gsell y a introduit un style nouveau, remarqué par les historiens du vitrail contemporains.

Apparition de la Vierge à Catherine Labouré, détail
Vue d'ensemble de l'église Notre–Dame de Lourdes
Vue d'ensemble de l'église Notre-Dame de Lourdes.
Le Christ en croix sur l'élévation gauche est le seul vestige de la précédente église, construite en 1626 et détruite en 1966.
L'église Notre-Dame de Lourdes sur l'avenue Roger Salengro
L'église Notre-Dame de Lourdes sur l'avenue Roger Salengro.
Le chevet de l'église
Le chevet de l'église Notre-Dame de Lourdes.
La Vierge au pied de la croix, détail
La Vierge au pied de la croix, détail du vitrail.
Le porche d'entrée est d'inspiration néo–romane
Les portails avec archivolte en plein cintre à multiples voussures
donnent au porche d'entrée de l'église un aspect néo-roman.

Les vitraux de Notre-Dame de Lourdes (1/3).
La vitrerie, datée des années 1930, est dédiée à la Vierge Marie. On la doit à deux peintres verriers : Henri Ripeau, dont l'atelier était à Versailles, et Albert Gsell qui avait le sien à Chaville.
La Vie de la Vierge est illustrée par les dix vitraux-colonnes de la nef dont une partie est donnée dans cette page. Un complément de cette Vie se trouve dans les vitraux qui remplissent les trois oculi au-dessus du chœur (Annonciation, Visitation et Nativité).
Dans les vitraux de la nef, le soubassement, comme on le voit ci-contre à droite, est constitué d'un motif à rinceaux sur fond bleu, sous un arc en plein cintre. Il est toujours accompagné du nom du donateur, ajouté en bas. Ce dernier, un peu au-dessus de la hauteur des yeux pour être visible par tous, est en général une famille de Chaville ou un prélat de la paroisse. Au-dessus se trouve la scène figurée, surmontée elle-même de plusieurs anges voletant sur un fond à dominante bleue.
Tous ces vitraux doivent être attribués à Albert Gsell.
Saluant le travail de l'artiste, l'historienne du vitrail Laurence de Finance, dans l'ouvrage Un patrimoine de lumière 1830-2000, écrit à propos des vitraux de Chaville : «Un renouvellement stylistique est apporté par Albert Gsell aux verrières mariales de Notre-Dame de Lourdes à Chaville (1930-1934) où, face aux oculi - dont les très beaux dessins préparatoires sont conservés aux archives paroissiales -, les compositions des verrières de la nef, étirées en hauteur, ont nécessité la pose d'un soubassement décoratif uniforme et un traitement particulier de mise en plomb et de découpe des verres de la partie supérieure occupée par des anges.»
Albert Gsell a également réalisé la grande verrière du chœur illustrant l'Apparition de Marie à Bernadette Soubirous. L'autre grande verrière du chœur est due à l'atelier versaillais d'Henri Ripeau. C'est en quelque sorte le pendant de la précédente : l'Apparition de Marie à Catherine Labouré. Ces deux verrières sont conçues de façon similaire : la Vierge est au centre, auréolée des rayons de la lumière divine, devant la voyante agenouillée.
L'apparition à Catherine Labouré, novice chez les Filles de la Charité, dans la chapelle de la rue du Bac à Paris en 1830, est la première apparition qui a été officiellement reconnue par l'Église. Son retentissement, déjà considérable, a été renforcé par la création, deux ans plus tard, de la médaille miraculeuse, gravée «à la demande de la Vierge». Cinq églises de la Région Parisienne illustrent cette apparition, celle de Chaville, datée des années 1930, étant la plus récente. ---»» Suite 2/3

Vitrail : L'Assomption de la Vierge
Vitrail : L'Assomption de la Vierge.
Attribué à Albert Gsell
1934-1937.
Façade de l'ancienne église Saint-Denis à Vélizy
Façade de l'ancienne église Saint-Denis à Vélizy.
Armoiries de Michel Le Tellier au fronton de la vieille église de Vélizy
Armoiries de Michel Le Tellier au fronton de la vieille église de Vélizy.
Vitrail : L'Éducation de la Vierge Marie
Vitrail : L'Éducation de la Vierge Marie.
Attribué à Albert Gsell
1934-1937.
Vue de la nef et de l'élévation gauche
Vue de la nef et de l'élévation gauche.
Plan de l'église
Plan de l'église.
Christ en croix dans la nef, XVIIIe siècle
Christ en croix dans la nef, XVIIIe siècle
Vestige de l'église détruite en 1966.
Christ en croix sur la tribune, détail
Christ en croix sur la tribune, détail.
Le Mariage de la Vierge
«Le Mariage de la Vierge» illustré par Le Pérugin.

Le Mariage de la Vierge. Il ne fait guère de doute que le peintre verrier Albert Gsell s'est inspiré des maîtres italiens du XVIe siècle pour composer la scène du Mariage de la Vierge.
Cette scène a été illustrée par Le Pérugin en 1504 (musée des Beaux Arts de Caen). Elle est donnée ci-dessus. Mais le dessin se rapproche encore plus du tableau peint par Raphaël, son élève, en 1504 également. Raphaël montre le grand-prêtre inclinant la tête sur sa gauche ; le temple de Jérusalem est quasiment identique.

Vitrail : Le Mariage de la Vierge
Vitrail : Le Mariage de la Vierge.
Attribué à Albert Gsell, Chaville,
1934-1937.
VISAGES PEINTS PAR ALBERT GSELL AVEC EFFETS DE RELIEF
Vitrail : L'Éducation de la Vierge Marie, détail : sainte Anne
Vitrail : L'Éducation de la Vierge, détail : sainte Anne.
Attribué à Albert Gsell.
.
Vitrail : L'Éducation de la Vierge Marie, détail : Marie
Vitrail : L'Éducation de la Vierge, détail : Marie,
Attribué à Albert Gsell
Présentation de Jésus au Temple, détail
Présentation de Jésus au Temple, détail.
Vitrail : La Sainte Famille
Vitrail : La Sainte Famille.
Attribué à Albert Gsell
1934-1937.
Vitrail au-dessus de la porte d'entrée
Vitrail de sainte Thérèse de Lisieux au-dessus de la porte d'entrée.
«Je veux passer mon Ciel à faire du bien sur la Terre»
Signature : «Henri Ripeau, maître verrier à Versailles, 1937».
Vitrail au-dessus de la porte d'entrée, détail
Vitrail de sainte Thérèse de Lisieux, détail.
Henri Ripeau,, 1937.

Le visage de sainte Thérèse, ci-contre, est sans doute obtenu par inclusion d'une photographie dans le verre. Ce procédé, pratiqué depuis la fin du XIXe siècle, assurait une totale ressemblance du dessin avec la réalité.
Dans l'ouvrage Un patrimoine de lumière 1830-2000 (éditions du Patrimoine, 2003), l'historienne Martine Callias Bey révèle que le verre était imprimé par la photo en positif, la cuisson assurant la vitrification et la durabilité.
Henri Ripeau aura utilisé une photo en noir et blanc de la future sainte, qu'il aura ensuite colorée.
Voir à ce sujet la cathédrale du Havre et la grande église Saint-Nicolas à Saint-Nicolas de Port.

L'orgue de tribune
L'orgue de tribune.
Vitrail : Les Noces de Cana
Vitrail : Les Noces de Cana.
Attribué à Albert Gsell
1934-1937.
Vitrail : La Crucifixion
Vitrail : La Vierge au pied de la croix.
Attribué à Albert Gsell
1934-1937.
Tableau : L'Annonciation
Tableau : L'Annonciation
par le Père Klasen (vers l'an 2000).
Vitrail : La Fuite en Égypte, détail
Vitrail : La Fuite en Égypte, détail.
Attribué à Albert Gsell
1934-1937.
Tableau : La Vierge et l'Enfant
Tableau : La Vierge et l'Enfant
par le Père Klasen
Vers l'an 2000.
Vitrail : La Crucifixion, détail
Vitrail : La Vierge au pied de la croix
Détail : Marie-Madeleine.
Vitrail : Couronnement de la Vierge, détail
Vitrail : Le Couronnement de la Vierge, détail.

Les vitraux de N-D de Lourdes (2/3).
Le vitrail d'Henri Ripeau reprend l'attitude de la Vierge gravée sur la médaille en 1832. Laurence de Finance remarque : «Le décor, l'attitude de la religieuse et l'encadrement, non figurés sur la médaille, sont laissés à l'initiative du peintre verrier qui, situant la scène dans la chapelle du couvent, donne à Catherine Labouré l'attitude de Marguerite-Marie au pied du Sacré-Cœur.»
Il s'agit de l'apparition (toujours contestée) du Sacré Cœur à Marguerite-Marie Alacoque au couvent de Paray-le-Monial au XVIIe siècle.
Ajoutons un détail pictural : parmi les cinq verrières qui reproduisent cette apparition, seule celle de Chaville reprend le décor de l'envers de la médaille miraculeuse : une croix, la lettre M et les cœurs de Marie et de Jésus entourés de douze étoiles (décor donné plus bas).
Au niveau du graphisme des verrières de la Vie de la Vierge, on remarque que les visages sont obtenus par de simples coups de crayon pour définir les yeux, le nez et la bouche (voir par exemple Les Noces de Cana ou l'Annonciation). Dans quelques rares cas, on observe des effets de relief comme dans l'Éducation de la Vierge ou la Présentation de Jésus au Temple.
---»»» Suite 3/3

Vitrail : Le Couronnement de la Vierge
Vitrail : Le Couronnement de la Vierge.
Attribué à Albert Gsell
1934-1937.
LE CHŒUR DE L'ÉGLISE NOTRE-DAME DE LOURDES
Le chœur et l'élévation droite de la nef
Le chœur et l'élévation droite de la nef.
Vitrail : Apparition de la Vierge à Bernadette Soubirous
Apparition de la Vierge à Bernadette Soubirous.
Albert Gsell, 1934-1937.
Vitrail : Apparition de la Vierge à Catherine Labouré
Apparition de la Vierge à Catherine Labouré.
Henri Ripeau, 1934-1937.
Jeanne d'Arc offrant la France à la Vierge Marie
Jeanne d'Arc offrant la France
à la Vierge Marie.
Henri Ripeau, 1934-1937.
La signature d'Henri Ripeau au bas du vitrail de Jeanne d'Arc
La signature d'Henri Ripeau
au bas du vitrail de Jeanne d'Arc.
La Sainte Famille, détail : le visage de la Vierge
La Sainte Famille, détail : le visage de la Vierge
Tableau dans l'abside : le Christ en gloire
Tableau dans l'abside : le Christ en gloire
par le Père Klasen (vers l'an 2000).
Saint Louis par Henri Ripeau (1934-1937)
Saint Louis par Henri Ripeau (1934-1937).
Le chœur est dominé par les trois oculi d'Albert Gsell
Le chœur est dominé par les trois oculi d'Albert Gsell.

Les vitraux de Notre-Dame de Lourdes (3/3).
Ce souci artistique donne évidemment plus de corps aux personnages. On ne sait s'il s'agit d'une demande spécifique du donateur, éventuellement associée à un surcoût.
Henri Ripeau a, quant à lui, créé deux vitraux-colonnes dans le chœur : Jeanne d'Arc offrant la France à la Vierge Marie (ci-contre à gauche) et Saint Louis protégeant la veuve et l'orphelin. Leur style montre une recherche artistique certaine qui ne transparaît pas dans les vitraux d'Albert Gsell, au graphisme nettement plus dépouillé.
Dans l'église, les deux vitraux-colonnes d'Henri Ripeau portent une signature. Albert Gsell n'a signé aucune de ses créations, sans que l'on sache pourquoi. À propos de ces signatures, Laurence de Finance signale qu'on a affaire à un phénomène commun aux trois départements franciliens étudiés dans son ouvrage : il s'agit de signatures exhibition «écrites lisiblement, souvent en petites capitales d'imprimerie» (voir celle d'Henri Ripeau plus bas à gauche). En effet, les petits ateliers avaient besoin de se faire connaître. Elle ajoute : «La présence de peintres verriers franciliens moins connus, mais demeurant sur la commune même ou à proximité, est souvent un facteur déterminant pour le commanditaire.» À Chaville, aucun vitrail n'a été commandé à l'un des grands ateliers parisiens comme Champigneulle, Lorin ou Barillet. Et la plupart des vitraux sont de Gsell, artiste installé dans la ville même.
Enfin, c'est Henri Ripeau qui a conçu le vitrail au-dessus de la porte d'entrée. Il représente sainte Thérèse de Lisieux associée à la célèbre légende : «Je veux passer mon Ciel à faire du bien sur la Terre». Le visage de la sainte a peut-être été obtenu par inclusion d'une photographie noir et blanc, ensuite colorée (voir l'encadré plus haut).

Apparition de la Vierge à Catherine Labouré, détail
Apparition de la Vierge à Catherine Labouré, détail.
Henri Ripeau a repris le décor de l'envers de la médaille miraculeuse :
Croix, lettre M, cœurs de Jésus et Marie entourés de douze étoiles.
Oculus dans le chevet : Annonciation
Oculus dans le chevet : Annonciation
Albert Gsell, 1934-1937
Oculus dans le chevet : Nativité
Oculus dans le chevet : Nativité
Albert Gsell, 1934-1937.
Baptistère dans le chœur
Baptistère dans le chœur.
Christ en croix dans le chœur
Christ en croix dans le chœur.
Absidiole gauche dans le chœur ---»»»
La Sainte Famille
La Sainte Famille.
Sculpture dans l'absidiole droite.
Absidiole gauche dans le chœur

Saint Louis. Le vitrail-colonne d'Henri Ripeau, donné ci-contre à droite, représente saint Louis sous un chêne, rendant la justice. Un noble ou un riche quitte la scène, l'air déconfit, après la sentence du roi qui le condamne au profit de la veuve.
Saint Louis est redevenu à la mode dans les verrières du XIXe siècle, principalement en Ile-de-France. L'historienne Laurence de Finance a compté une quarantaine d'édifices dans les trois départements étudiés dans l'ouvrage cité en source (Val-de-Marne, Hauts-de-Seine et Seine-Saint-Denis) avec 51 verrières portant sur saint Louis. Sur le plan national, on ne compte qu'environ deux cents édifices possédant au moins une verrière du XIXe ou du XXe siècle relative à saint Louis.
Source : Un patrimoine de lumière, 1830-2000, éditions du Patrimoine, 2003.

Le chœur et l'absidiole droite
Le chœur et l'absidiole droite.
Saint Louis protégeant la veuve et l'orphelin
Saint Louis protégeant la veuve et l'orphelin.
Henri Ripeau, 1934-1937.
Vitrail d'un oculus dans une absidiole
Vitrail d'un oculus
dans une absidiole du chœur.
Oculus dans le chevet : Visite de Marie à Élisabeth
Oculus dans le chevet : Visite de Marie à Élisabeth.
Albert Gsell, 1934-1937.
Jeanne d'Arc offrant la France à la Vierge Marie
Jeanne d'Arc offrant la France à la Vierge Marie, détail.
Henri Ripeau, 1934-1937.
Nef et orgue de tribune vus de derrière l'autel
Nef et orgue de tribune vus de derrière l'autel.

Documentation : Panneaux affichés dans le narthex
+ «Un patrimoine de lumière, 1830-2000», éditions du Patrimoine, 2003
+ «Chaville et Viroflay, mille ans d'histoire» de François Schlumberger, 1997.
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