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Page créée en août 2020
La Vierge et l'Enfant dans l'autel de la Vierge

L'histoire de l'église Saint-Léon est liée à celle du développement du chemin de fer. La première locomotive, partie de Paris, qui arrive à Nancy a été bénie le 17 juin 1852 par Mgr. Menjaud, en présence d'Hippolyte Fortoul (1811-1856), ministre de l'Instruction publique et des Cultes. Ce dernier représentait le Prince-Président Louis-Napoléon Bonaparte. Conséquence économique : l'activité de la gare va rapidement créer un quartier nouveau, à l'ouest de la ville. Qui dit nouveau quartier dit nouvelle paroisse pour laquelle il faudra bien sûr un édifice cultuel. Mgr Menjoud, évêque de Nancy et de Toul, charge alors l'abbé Noël de sa création, avec église et écoles. Le territoire de la nouvelle paroisse sera pris sur celui de Saint-Sébastien et celui de Saint-Vincent-Saint-Fiacre. L'église sera dédicacée au pape Léon IX (1049-1054) qui fut évêque de Toul de 1026 à 1052 et qui sera canonisé dès 1087 par le pape Victor III.
Une fois le terrain acheté, une chapelle provisoire est érigée. La construction commence en août 1860 sous la direction de l'architecte Léon Vautrin (qui érigera bientôt l'église Saint-Pierre non loin). Contrairement à la tradition, l'édifice aura un chœur à l'ouest. On bâtit d'abord la nef qui est terminée en 1862, puis l'on érige un chœur provisoire. La première messe est célébrée en 1864. La tour nord est construite et reçoit cinq cloches. Ensuite, les travaux ralentissent, par manque de fonds d'abord, puis du fait de la guerre de 1870. L'église est finalement consacrée en avril 1877 (chœur et tour sud terminés, parvis aménagé).
Saint-Léon est une église-halle de style néogothique, très riche en vitraux. Ceux-ci subiront quelques dommages lors de la première guerre mondiale, donnant lieu à des restaurations ou à des remplacements dans l'entre-deux-guerres.

Jésus et la Samaritaine, vitrail des années 1920, détail
Vue d'ensemble de la nef de l'église Saint-Léon
Vue d'ensemble de la nef de l'église Saint-Léon.
La façade de l'église Saint-Léon
La façade de l'église Saint-Léon.
La partie supérieure d'une tour néogothique
La partie supérieure d'une des deux tours néogothiques.

Les tours de Saint-Léon sont inspirées de celles
de l'église Saint-Martin à Pont-à-Mousson.
Les trois portails néogothiques de l'église Saint–Léon
Les trois portails néogothiques de l'église Saint-Léon.


Vue en gros plan de la porte centrale ---»»»
Les portes sont en chêne recouvert de bronze, œuvre d'Eugène Vallin.
Saint Jean-Baptiste sur la façade
Saint Jean-Baptiste sur la façade.
Saint Léon sur le pignon de la façade
Saint Léon sur le pignon de la façade.
Vue en gros plan de la porte centrale
Le portail central néogothique Le tympan du portail central : Le Sacré-Cœur et les quatre évangélistes
Le tympan du portail central : Le Sacré-Cœur entouré d'angelots et les quatre évangélistes.
Bas-relief de Victor Huel en 1902.

«««--- Le portail central néogothique.
Le tympan du portail nord : Bruno de Dabo, futur Léon IX, distribue  des secours à des pauvres (Auguste Vallin, années 1920)
Le tympan du portail nord : Bruno de Dabo, futur Léon IX, distribue des secours à des pauvres.
(Bas-relief d'Auguste Vallin, 1927).
Le tympan du portail sud : Saint Léon reçoit une rose d'or de l'abbesse du couvent Sainte–Croix de Woffenheim (Auguste Vallin, années 1920)
Le tympan du portail sud : Saint Léon reçoit une rose d'or de l'abbesse
du couvent Sainte-Croix de Woffenheim (Bas-relief d'Auguste Vallin, 1927).
LA NEF DE L'ÉGLISE SAINT-LÉON
La nef, le bas-côté sud et la chaire à prêcher
La nef, le bas-côté sud et la chaire à prêcher .
Les vitraux du côté sud n'ont pas subi de dégradations lors du premier conflit mondial.
Plan de l'église Saint-Léon
Plan de l'église Saint-Léon.
Sainte Thérèse et saint Nicolas (XIXe siècle)
Sainte Thérèse et saint Nicolas.

Architecture interne. L'église Saint-Léon est une église-halle à trois vaisseaux (même si la voûte du vaisseau central est deux mètres plus élevée que celles des collatéraux). Son transept est très large (voir plan ci-contre). Toutes ses parties sont voûtées d'ogives. L'élévation, qui n'a qu'un seul niveau, est enrichie d'une quantité impressionnante de vitraux à personnages ou historiés.
Dans une église-halle de ce genre, avec un seul niveau d'élévation, l'inventivité architecturale ne peut être que limitée. Elle va porter sur la forme des piles, le style des chapiteaux à leur sommet, la face interne des murs gouttereaux le long des collatéraux, voire la corniche de séparation entre ce mur et les fenêtres. À l'église Saint-Léon, les choix sont assez simples, comme si l'on avait réservé une part importante du financement pour les verrières : les piles des arcades en tiers-point sont tréflées ; les chapiteaux sont à thème floral, sans excès artistique ; la corniche de séparation n'est qu'un simple boudin au-dessus d'un mur nu (mais qui aurait pu être scandé par une suite d'arcatures) ; et l'intrados des grandes arcades n'est qu'un épais filet concave. Il est certain qu'on ne retrouve pas le cachet artistique, pourtant très classique, de cette autre église de Nancy, à peu près contemporaine et édifiée par le même architecte, qu'est l'église Saint-Pierre.
Au milieu de cet univers assez standard, la très belle coupole de la croisée rassemble à elle seule toute la sophistication interne de l'édifice, au point qu'elle jurerait presque avec le reste. L'architecte Léon Vautrin a-t-il voulu par là honorer la colombe du Saint-Esprit qui illumine le vitrail horizontal au centre de la coupole ?

Les Fonts baptismaux
Chapelle des Fonts baptismaux.
Confessionnal néogothique
Confessionnal néogothique.
Le baptême de Jésus dans le vitrail des Fonts baptismaux
Le baptême de Jésus dans le vitrail des Fonts baptismaux.

Les vitraux 1/2. Tous les vitraux de l'église Saint-Léon contiennent des saints et des saintes à la façon du XVe siècle ou bien des scènes historiées. Bien qu'ils soient quasiment tous de la fin du XIXe siècle et du début du XXe, les différents ateliers qui les ont créés ont imprimé dans chacun leur griffe artistique. Deux seulement portent une signature : le vitrail de Jésus et la Samaritaine, réalisé par le peintre verrier Janin en 1925 et le vitrail de Pierre Fourier devant le duc de Lorraine Charles IV réalisé par l'atelier Victor Höner en 1876..
Les ateliers créateurs sont au nombre de cinq : Gsell-Laurent, Champigneulle, Benoît, Victor Höner et Joseph Janin.
La présence de ces nombreux vitraux rend l'église Saint-Léon assez sombre, surtout par temps couvert. Les photos des vitraux de cette page ont été prises en fin d'après-midi avec un soleil rasant qui éclairait le chœur.
Le programme iconographique initial prévoyait d'orner les vitraux des collatéraux avec les saints patrons des paroisses de Nancy et ceux des communautés religieuses de la ville. Le vitrail de saint Sigibert et saint Stanislas, donné ci-dessous, en est un exemple. Ceux du côté nord, ayant subi des dégats durant le premier conflit mondial, ont été refaits en 1924-1925 sans tenir compte de ce programme. On y voit ainsi saint Augustin, sainte Anne, sainte Monique, etc.
Rappel historique. En 1914-15, la ligne de front se stabilisa à moins de trente kilomètres de Nancy, au nord. Pour saper le moral de la population, les Allemands installèrent, près de Château-Salins, un canon à longue portée ---»» Suite 2/2

Le bas-côté droit vu depuis le transept droit
Le bas-côté droit vu depuis le bras droit du transept.
Saint Sigibert et saint Stanislas (XIXe siècle)
Saint Sigibert et saint Stanislas (XIXe siècle).
Saint Augustin et saint François de Sales (XXe siècle)
Saint Augustin et saint François de Sales (1924-25).
Saint Sébastien et saint Ignace (XIXe siècle)
Saint Sébastien et saint Ignace
(Années 1924-25).
Sainte Anne et sainte Monique (XIXe siècle)
Sainte Anne et sainte Monique
(Années 1924-25).
Chemin de croix, station VIII
Chemin de croix, station VIII,
Jésus console les filles de Jérusalem.

Le Chemin de croix de l'église Saint-Léon est une œuvre
moderne de l'artiste Jacques Walter.
Saint Luc sur la cuve de la chaire à prêcher Louise de Marillac et saint Vincent de Paul
Louise de Marillac et saint Vincent de Paul
Vitrail du XXe siècle, détail.
«««--- Saint Luc sur la cuve de la chaire à prêcher.
La chaire à prêcher Saint Marc et saint Matthieu sur la cuve de la chaire à prêcher
Saint Marc et saint Matthieu sur la cuve de la chaire à prêcher.

«««--- La chaire à prêcher.

Chemin de croix, station XII ---»»»
Jésus est crucifié.
Chemin de croix, station III
Chemin de croix, station III
Jésus tombe sous le poids de la croix.
Chemin de croix, station XII
Saint Louis et saint Michel (XIXe siècle)
Saint Louis et saint Michel (1924-25).

Les vitraux 2/2.   ---»» (le «gros Max») qui va tirer sur la ville des obus à fusées percutantes. Le tir commença le 1er janvier 1916 et ne s'arrêta qu'en mars 1917, quand le canon fut détruit par les bombes d'un aviateur français. En quinze mois, il eut le temps de faire des dégâts auxquels il faut d'ailleurs rajouter ceux des avions allemands de passage que les Nancéiens appelaient les «Taube» (pigeon en allemand). Ceci explique sûrement pourquoi les vitraux du côté nord ont dû être refaits lors de l'entre-deux-guerres. La règle ne saurait toutefois être générale : le vitrail très moderne du Sacré-Cœur placé au-dessus de l'autel du même nom est, quant à lui, situé au sud. Dans l'ouvrage Nancy, 1000 ans d'Histoire (éditions Place Stanislas), l'historien François Roth ajoute que l'immeuble des Magasins Réunis et celui du journal l'Est républicain ont, à cause de ce canon, souffert de destructions, tout comme l'usine Majorelle.
Deux vitraux de 1874, de l'atelier Maréchal et Champigneulle, illustrent un thème assez rare : celui des apparitions de saint Alphonse de Liguori (voir plus bas). Un autre rappelle une page de l'Histoire de la Lorraine : la rencontre entre le duc Charles IV et Pierre Fourier et un autre, de l'Histoire de l'Alsace : les adieux de sainte Eugénie à ses parents.
Source : 1) Note historique sur l'église Saint-Léon (site Web de la paroisse Saint-Jean de la Commanderie) ; 2) Nancy, 100 ans d'Histoire aux éditions Place Stanislas.

La voûte de la nef et du bas-côté droit
La voûte d'ogives du vaisseau central et celle du bas-côté droit.
Sainte Catherine et saint Georges (XIXe siècle)
Sainte Catherine et saint Georges
(Années 1870-80).
Saint Vincent et saint Fiacre (XIXe siècle)
Saint Vincent et saint Fiacre
(Années 1870-80).
LE TRANSEPT DE SAINT LÉON ET SES AUTELS
Le bras gauche du transept est dédié au Sacré-Cœur
Le bras gauche du transept est dédié au Sacré-Cœur.
Vitrail du Sacré-Cœur (XXe siècle)
Vitrail du Sacré-Cœur (XXe siècle).
La Vierge à l'Enfant dans la chapelle de la Vierge
La Vierge à l'Enfant
dans la chapelle de la Vierge.
Chapelle de la Vierge dans le bras gauche du transept
Chapelle de la Vierge dans le bras gauche du transept.
Chapelle du Sacré-Cœur dans le bras droit du transept
Chapelle du Sacré-Cœur dans le bras droit du transept.
La colombe de l'Esprit-Saint dans le vitrail de la coupole de la croisée
La colombe de l'Esprit-Saint
dans le vitrail de la coupole de la croisée.


La coupole à la croisée du transept ---»»»
Vitrail de la Pentecôte dans la chapelle de la Vierge
Vitrail de la Pentecôte dans la chapelle de la Vierge.
Élévations de la croisée avec la coupole
Vitrail de la Pentecôte, détail
Vitrail de la Pentecôte, détail.
Vitrail de l'Assomption
Vitrail de l'Assomption.



«««--- Élévations de la croisée avec la coupole.
La coupole à la croisée du transept
LE CHŒUR ET LES CHAPELLES ABSIDIALES DE L'ÉGLISE SAINT-LÉON
Le chœur de l'église Saint-Léon
Le chœur de l'église Saint-Léon.
L'autel de messe est l'œuvre de Claude Michel (1980)
L'autel de messe est l'œuvre de Claude Michel (1980).

L'ambon, œuvre de Claude Michel (1980) ---»»»
L'ambon de Claude Michel (1980)
Partie nord du chœur avec les stalles
Partie nord du chœur avec les stalles.
Le maître-autel de la chapelle axiale
Quand il est dans la pénombre, le maître-autel n'est éclairé que par une
petite lumière dans sa partie supérieure.
L’entrée au couvent de sainte Eugénie accueillie par sainte  Odile.
L’entrée au couvent de sainte Eugénie accueillie par sa tante, sainte Odile.
Atelier Victor Höner (1875).

C'est le seul vitrail de l'église à afficher le nom de son donateur : M. le baron Dufour.
Il est curieux de voir un épisode du VIIIe siècle de l'Histoire de l'Alsace dans un vitrail d'une église lorraine. Rappelons que bien des Alsaciens ont choisi la France, après le rattachement de l'Alsace-Moselle à l'Allemagne en 1871. À Nancy, le quartier Saint-Léon a accueilli beaucoup de familles de la bourgeoisie alsacienne. Voir un détail du vitrail plus bas.

Le maître-autel et les stalles
Le maître-autel et les stalles.
Retable de Saint-Joseph dans la chapelle absidiale gauche
Retable de Saint-Joseph dans la chapelle absidiale gauche.
Vitrail de la Sainte Famille, scène centrale (Maréchal  et Champigneulle, 1874)
Vitrail de la Sainte Famille, scène centrale (Maréchal et Champigneulle, 1874).

La Sainte Famille. Le vitrail de la Sainte Famille donné ci-dessus relève d'un thème classique, mais il interpelle les historiens. Qui est donc le vieillard à barbe blanche à l'extrême-gauche ? Dans la lancette centrale, on reconnaît Marie et Joseph ; sur la gauche, l'Enfant Jésus ; sur la droite. Anne et Zacharie, parents de la Vierge. L'un des peintres verriers s'est-il représenté ? S'agit-il du fondateur de l'atelier Maréchal ou de celui de l'atelier Champigneulle ?

Vitrail de l'Annonciation ---»»»
Atelier Janin, 1925 ?

Vitrail de l'Annonciation
Apparition de don Alphonse de Liguori (Atelier Maréchal & Champigneulle, 1874)
Apparition de don Alphonse de Liguori (atelier Maréchal & Champigneulle, 1874).
Jésus et la Samaritaine
Jésus et la Samaritaine.
La signature est apposée sur la dalle
devant le puits : «Janin, 1925».
La Mort du pape Clément XIV en présence d'Alphonse de Liguori (Atelier Maréchal & Champigneulle, 1874)
La Mort du pape Clément XIV (†1774) en présence de don Alphonse de Liguori
Atelier Maréchal & Champigneulle, 1874.

Alphonse de Liguori. Le vitrail ci-dessus montre une apparition miraculeuse du saint, en 1774, au chevet du pape Clément XIV qui se meurt. De sa main droite, Liguori, alors évêque de Sainte-Agathe-des-Goths, semble signifier au pape qu'il peut s'éteindre en paix.
Le vitrail au-dessus est un peu plus mystérieux. Alphonse de Liguori apparaît lors d'une réunion présidée par un évêque. En serrant ses poings sur sa poitrine, il donne l'air de vouloir convaincre le prélat d'adapter telle ou telle décision. On ne sait rien sur le lieu, la date et la décision de cette réunion.

Retable de Saint-Alphonse-de-Liguori dans la chapelle absidiale droite
Retable de Saint-Alphonse-de-Liguori dans la chapelle absidiale droite.

Alphonse de Liguori (1696-1787). Deux vitraux de l'église Saint-Léon mettent en scène don Alphonse de Liguori, un saint peu connu. Brillant avocat à ses débuts, mais, déçu par la corruption, il se consacre aux malades du principal hôpital de Naples. À 26 ans, il s'inscrit au séminaire et se dévouera au monde perdu des bas quartiers napolitains. Ses prêches connaissent un succès incroyable. Il invente les «chapelles du soir» : ces gens perdus y viennent prier et chanter, finalement rangent leurs armes et changent de vie. Des prêtres les épaulent dans leurs nouvelles résolutions.
Vers 1730, son dessein accompli, Liguori se tourne vers les paysans du royaume de Naples, ignorés de l'Église. L'idée de la fondation de l'Ordre des Rédemptoristes se fait jour. Celui-ci naîtra en 1732 et, en son sein, Liguori se démènera inlassablement pour évangéliser les campagnes. Avec une idée originale : adapter le discours religieux au monde des analphabètes. Il crée ainsi une langue populaire écrite, aussi simple que la parole. À l'époque, ce sont les seuls textes compréhensibles par les gens simples quand on leur fait la lecture. Liguori publiera en tout cent onze ouvrages. Mais c'est sa Théologie morale qui lui vaudra le titre de Docteur de l'Église. Trois grandes idées s'y rassemblent : la vérité, la conscience individuelle et la liberté. La liberté, donnée à l'homme par Dieu, est le pilier de la théologie de Liguori. En 1762, à 65 ans, malgré une santé déficiente, il est nommé évêque par le pape Clément XIII. Sa démission sera acceptée en 1775. Il s'éteint en 1787 dans sa 91e année.
Source : Dictionnaire des saints, CNRS Éditions.

Le chœur et la partie droite du transept
Le chœur et la partie droite du transept.

Vitrail dans le chœur : la Charité de saint Léon   ---»»»
On remarque dans la lancette droite, de part et d'autre du visage du saint :
sur la gauche, l'abbé Noël, curé fondateur de l’église ; sur la droite, l'architecte Léon Vautrin qui tient la croix de procession.
La Charité de saint Léon
Le duc Charles IV rencontre saint Pierre Fourier à Mirecourt en 1634
Le duc Charles IV rencontre saint Pierre Fourier
à Mirecourt en 1634.
Atelier Victor Höner (1876).
La signature du peintre verrier est écrite sur la dalle
devant les pieds de Pierre Fourier.
Ce vitrail illustre un épisode tragique de l'Histoire mouvementée
de la Lorraine : le 6 janvier 1634, Pierre Fourier conseille
au duc Charles IV d'abdiquer pour mettre fin à la guerre
qui ravage la Lorraine et contenter
le tout-puissant voisin français.
Chapelle Saint-François-de-Sales
Retable de la chapelle Saint-François-de-Sales.
Jésus et les petits enfants, détail
Les Âmes du purgatoire, détail
Les Âmes du purgatoire, détail.
Le chœur avec sa voûte d'ogives
Le chœur avec sa voûte d'ogives.
Un ange dans un vitrail du XIXe siècle
Un ange dans un vitrail du XIXe siècle.
La Mort de Joseph (Atelier Maréchal & Champigneulle, 1874)
La Mort de Joseph
(Atelier Maréchal & Champigneulle, 1874)


Les Âmes du purgatoire ---»»»
Atelier Janin ?


«««--- Jésus et les petits enfants, détail.


L'ORGUE DE TRIBUNE
Les Âmes du purgatoire
Le grand orgue est un Cavaillé–Coll, la tribune est l'œuvre d'Eugène Vallin
Le grand orgue est un Cavaillé-Coll, la tribune est l'œuvre d'Eugène Vallin (1889).
L’entrée au couvent de sainte Eugénie, détail
L’entrée au couvent de sainte Eugénie, détail.
La tribune du grand orgue a été exécutée par Eugène Vallin en 1889
La tribune du grand orgue a été exécutée par Eugène Vallin en 1889.
Une vue en gros plan de la tribune. L'ébéniste Eugène Vallin s'est représenté au premier plan
Une vue en gros plan de la tribune. L'ébéniste Eugène Vallin s'est représenté au premier plan et au centre.
Les piliers qui soutiennent le grand orgue cachent deux statues de rois médiévaux
Les piliers qui soutiennent le grand orgue cachent deux statues de rois médiévaux.
L'avare tient sa bourse devant le bénitier
L'avare tient sa bourse devant le bénitier.
Un roi dans un pilier sous le grand orgue
Un roi dans un pilier sous le grand orgue.
Vue d'ensemble de la nef depuis le chœur
Vue d'ensemble de la nef depuis le chœur.

Documentation : Note historique sur l'église Saint-Léon (site Web de la paroisse Saint-Jean de la Commanderie
+ «Nancy, 1000 ans d'Histoire» aux éditions Place Stanislas
+ Dictionnnaire des Saints, CNRS Éditions
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