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Page créée en 2012
Dreux
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Saint-Pierre
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Saint-Pierre
Jessé dans l'Arbre de Jessé du XIXe siècle

La construction de l'église Saint-Pierre s'étale du XIIIe au XVIIe siècle. La plus grande partie, celle qui est visible actuellement, a été bâtie au XVe siècle, plus précisément après la guerre de Cent Ans et les destructions dues au siège du roi anglais Henri V en 1421. La reprise économique que connaît alors la France permet d'agrandir et d'embellir l'église, voire d'en refaire certaines parties : piliers du chœur, réfection de la nef, construction des huit chapelles latérales, double déambulatoire avec sept chapelles rayonnantes. Et partout, l'inclusion de beaux vitraux. Plusieurs grandes familles drouaises financèrent les travaux au début du règne de Louis XII (année 1498).
Enfin, au XVIe siècle, on agrandit l'église avec la construction des deux dernières travées et des tours. La façade date de 1524 ; elle illustre déjà l'art de la Renaissance. Malheureusement, la tour sud (dite «Sainte-Anne») ne sera jamais achevée. Au début du XVIIe siècle, on ajoute le bras sud du transept qui accueillera l'orgue sous le Second Empire.
La Révolution amène ses destructions (mobilier, statues, sculptures). Saint-Pierre devient temple de la Raison ; le chœur, fabrique de salpêtre. L'église est rendue au culte en 1802. Elle est classée Monument historique en 1841.
Hormis une magnifique collection de vitraux (XVIe et XIXe siècles), l'église Saint-Pierre de Dreux possède un splendide double déambulatoire qui dégage une atmosphère proprement féerique. Les sept chapelles rayonnantes (qui sont peu profondes) irradient de leurs verrières multicolores ce lieu de cheminement, en portant inévitablement le visiteur à un sentiment d'admiration envers l'art religieux médiéval (voir les deux grandes photos plus bas).

Vue d'ensemble de l'église
Vue d'ensemble de l'église Saint-Pierre de Dreux.
Aux arcades en arc brisé du premier niveau succède un deuxième niveau de l'élévation qui, lui, est simplifié à l'extrême. Une corniche sans modillons en marque la séparation.
Au troisième niveau, des vitraux en verre blanc assurent à l'édifice une grande luminosité.
L'église côté sud
L'église vue du côté sud.
L'architecture du croisillon du XVIIe siècle («porte des Morts») annonce déjà le classicisme.
La tour nord (dite «Saint-Vincent»), achevée en 1576, culmine à 36 mètres.
L'église fait 79 mètres de long.

La façade XVIe siècle de Saint-Pierre
La façade occidentale date du début du XVIe siècle.
La tour sud (dite «Sainte Anne») n'a jamais été terminée.

Le plan de l'église
Les époques de construction sont cerclées en couleur.
Les portails de la façade
Les deux portails de la façade ouest (1524) portent l'influence de la Renaissance.
Les voussures mutilées
Les personnages des voussures ont
été soigneusement mutilés...
Le transept nord
Le transept nord.
Le portail  nord du XIIIe siècle
Le portail nord du XIIIe siècle est la partie la plus ancienne de l'église.
Le tympan (très mutilé) représente le Jugement dernier.

«««--- Le transept nord. Non saillant (voir plan), il est entouré
d'une chapelle latérale et d'une chapelle absidiale.

L'abside abrite des vitraux du XVIIIe siècle.  ---»»»
Ici, le vitrail central du chœur : la Crucifixion

Vitrail La Crucifixion (XVIIIe siècle)
La Crucifixion dans l'abside.
Bénitier sculpté dans la pierre
Très beau bénitier représentant les saintes femmes au Tombeau.
C'est un chapiteau roman du XIIe siècle qui a été évidé.
Le chœur de Saint-Pierre
L'architecture du chœur (fin XVe siècle) est assez sobre, comme pour mieux faire ressortir la beauté des vitraux du déambulatoire.
Le chœur et l'abside
Le chœur et l'abside.

Cette architecture date de la fin du XVe siècle
lorsque quelques riches familles drouaises
financèrent la reconstruction de l'église.
 
Vitrail Le Sacrifice d'Abraham (détail) dans le transept
Vitrail dans le bras sud du transept
Le Sacrifice d'Abraham, détail (1607).
Le bras sud du transept
Le bras sud du transept remonte au XVIIe siècle.
L'ORGUE DE L'ÉGLISE SAINT-PIERRE
Le buffet d'orgue de Saint-Pierre (1614)
Le magnifique buffet d'orgue de Saint-Pierre de Dreux
dans le bras sud du transept date de 1614.
On pourra se reporter à l'orgue de tribune de l'église Saint-Laurent de Nogent-sur-Seine, de la même époque, qui lui ressemble un peu.
Détail de la sculpture du buffet d'orgue Détail de la sculpture du buffet d'orgue
Détail des sculptures. Cliquez sur l'image.

Tête de chérubin dans les sculptures du buffet.
Chérubin dans la sculpture du buffet d'orgue

L'orgue de Saint-Pierre de Dreux possède un magnifique buffet sculpté par un menuisier drouais, Toussaint Fortier, en 1614, sur des dessins de Clément Métezeau. L'orgue fut installé à son emplacement actuel (bras sud du transept) en 1867. En même temps, on construisit une sacristie au-dessous.
Les trois photos du haut et de droite donnent une idée de la beauté de cet instrument.
Cliquez sur l'image du haut à droite pour voir le bas du buffet en gros plan.

Le côté nord de la nef
Le côté nord de la nef avec sa suite de chapelles latérales rajoutées entre les contreforts à la fin du XVe siècle.
La Madeleine au pied de Jésus, Tableau
Tableau «La Madeleine au pied de Jésus», bras nord du transept
Copie d'un tableau de Jean Jouvenet.
Rose de la façade ouest
Rosace de la façade occidentale (XIXe siècle).
Cliquez sur l'image pour l'afficher en gros plan.

Le roi anglais Henry V Plantagenêt
Lors de la guerre de Cent Ans, ce roi a eu un rôle très néfaste sur les églises de France, plus précisément entre 1415 et 1422 (année de sa mort). Comme Saint-Pierre à Dreux, l'église Saint-Jean à Caen a souffert de graves destructions. Idem pour les édifices de Pontoise.
Arrière-petit-fils d'Edouard III et fils d'Henry IV, il monte sur le trône en 1413 et prétend assez vite recouvrer ses possessions anglaises en France. A cette époque, avec la politique sage de Charles V et la guérilla systématique menée par Duguesclin, la guerre de Cent Ans a tourné à l'avantage de la France. Henry V envahit la Normandie en 1415, épopée très risquée qui se termine par le désastre français d'Azincourt. Il revient en 1417, prend Caen, Falaise, puis Rouen.
Le traité de Troyes suit en 1420. Il ouvre la voie du

trône de France au roi anglais. Profondément pieux, communiant tous les jours, Henry V a marqué son règne d'atrocités multiples, commises en France par ses troupes. Et bien souvent sur son ordre. Brillant stratège dans ses campagnes, il n'acceptait pas qu'une ville lui résistât et la faisait mettre à sac quand il la prenait d'assaut après un long siège (ex. Caen). «Havoc», c'est-à-dire pillage, viols et tueries étaient la règle.
Henri V fait polémique en Angleterre parmi les historiens. Certains, comme Winston Churchill, voit en lui un grand roi qui a fait beaucoup pour son pays. D'autres, comme Desmond Seward, demandent qu'on n'oublie pas dans ses analyses, les atrocités et ce qu'on appellerait aujourd'hui les «crimes de guerre» commis par celui qui se définissait comme le «fléau de Dieu».
Henry V mourut de la dysenterie à Vincennes en 1422.

Suite de chapelles latérales dans le bas-côté sud
Sainte Philomène par Emile Perrin, 1841
Chapelle Sainte-Philomène
Tableau «Sainte Philomène» par Émile Perrin, 1841.

«««---A GAUCHE
La très belle suite de chapelles latérales
dans le bas-côté sud (fin XVe siècle).
LA CHAPELLE LATÉRALE SAINT-CRÉPIN ET SAINT-CRÉPINIEN
Chapelle Saint-Crépin et Saint-CrépinienVitrail Le martyre des deux saints
Chapelle latérale Saint-Crépin et Saint-Crépinien.
Vitrail du XVIe siècle, le martyre de Saint-Crépin et de Saint-Crépinien
Détail du vitrail du martyre des deux saints, XVIe siècle
Détail du vitrail du XVIe siècle.
Selon l'histoire, Crépin et Crépinien sont assis, les mains
immobilisées dans des entraves. On leur enfonce de longues alènes sous les ongles (mais ils ne ressentent aucune douleur).

«««--- À GAUCHE
Vitrail du XVIe siècle
Le martyre de saint Crépin et saint Crépinien.
Le choeur, la nef et le croisillon sud de Saint-Pierre de Dreux
Le martyre de saint Crépin et saint Crépinien.
Détail du vitrail du XVIe siècle :
l'empereur Maximien et le préfet Rictiovarus.

Le Martyre de saint Crépin et saint Crépinien.
Ces deux personnages ne figurent pas dans La Légende dorée de Jacques de Voragine. On trouve quelques lignes sur leur vie dans l'ouvrage La Bible et les saints publié chez Flammarion. La légende fait naître les deux frères à Rome dans une famille noble. Convertis au christianisme, ils fuient la persécution de Dioclétien et, vers 280, gagnent Soissons. Là ils se font cordonniers et chaussent les pauvres gratuitement en même temps qu'ils les gagnent à la foi chrétienne. Arrêtés dans leur atelier (voir la magnifique sculpture Renaissance de l'arrestation des deux saints à l'église Saint-Pantaléon de Troyes), ils sont livrés au préfet Rictiovarus.
La liste de leurs supplices, savamment composée à l'époque médiévale, est longue. Un panneau dans la chapelle en donne le détail, qui est aussi le sujet du vitrail.
Après leur comparution, ils sont suspendus à des potences et roués de coups. Puis ils sont étendus sur une table et on découpe dans leurs dos de longues lanières de peau. Ensuite, étant assis, on enfonce de longues alènes sous leurs ongles (panneau donné au-dessus). Est-il besoin de préciser que, dans le récit mythique, les deux saints ne ressentent jamais aucune douleur? Puis ils sont précipités dans l'Aisne avec une meule autour du cou, mais ils sortent, indemnes, sur la rive opposée. Ensuite ils sont jetés dans une cuve d'huile bouillante, mais ne ressentent toujours rien. Alors qu'ils sortent du chaudron et que deux anges apparaissent pour les protéger, le préfet Rictiovarus, à bout de nerfs, se jette lui-même dans la cuve.
Notons que, dans le vitrail, le panneau central du registre du bas représente une Résurrection, tandis que les deux panneaux adjacents sont des assemblages de pièces hétéroclites dont l'interprétation est presque impossible.
Voir le vitrail sur le martyre de saint Crépin et saint Crépinien à l'église Saint-Étienne d'Arcis-sur-Aube.

Le choeur, la nef et le croisillon sud de Saint-Pierre de Dreux
Le martyre de saint Crépin et saint Crépinien.
Détail du vitrail du XVIe siècle :
les deux saints sont jetés dans une cuve d'huile bouillante.

LA CHAPELLE LATÉRALE SAINTE-CLOTILDE
La chapelle Sainte-ClotildeVitrail de la vie de saints et de saintes
La chapelle Sainte-Clotilde.
Le dragon terrassé par saint Georges (XIXe siècle) dans le vitrail. ---»»»
Sainte-Clotilde jouant
Sainte Clotilde, patronne des musiciens, jouant de l'orgue.
Peintre inconnu.
Vitrail du XIXe siècle dans la chapelle Sainte-Clotilde
Vitrail du XIXe siècle dans la chapelle Sainte-Clotilde.
Il est consacré à plusieurs saints et saintes.
Le dragon terrassé par saint Georges
LA CHAPELLE LATÉRALE SAINTE-PHILOMÈNE
Chapelle Sainte-PhilomèneVitrail L'Ascension
La chapelle Sainte-Philomène et son vitrail du XVIe siècle. ---»»»
Vitrail du XVIe siècle, l'Ascension Détail du vitrail, XVIe siècle
Vitrail de l'Ascension (XVIe siècle), détail.

La chapelle Sainte-Philomène possède un beau vitrail du XVIe siècle représentant l'Ascension (dont la partie gauche était en restauration quand les photos ont été prises). Ci-dessus, détail des grisailles sur les visages des Apôtres. On notera l'absence des auréoles. Le tableau de sainte Philomène par Emile Perrin est donné plus haut.

LA CHAPELLE LATÉRALE SAINT-ÉTIENNE
Chapelle Saint-EtiennePanneaux anciens de provenance diverse
La chapelle Saint-Étienne et son vitrail aux panneaux composites.
Vitrail du XVIe siècle, détail

La chapelle Saint-Étienne possède une copie d'un tableau de Charles Le Brun, «Le martyre de saint Étienne» (photo de gauche, de biais) et un vitrail, composition de panneaux de provenance diverse.
CI-DESSUS, panneau extrait du vitrail montrant l'évasion d'un homme aidé par des complices tandis que les gardes, aux portes de la ville, ne voient rien. Cliquez sur l'image pour afficher tout le vitrail.

LA CHAPELLE LATÉRALE SAINT-FIACRE
Chapelle Saint-FiacreVitrail Vie de saint Fiacre
La chapelle latérale Saint-Fiacre
et son beau vitrail du XVIe siècle
sur la vie de saint Fiacre.
Vitrail du XVIe siècle illustrant la légende de saint Fiacre
Le vitrail du XVIe siècle illustre
la légende de saint Fiacre
en neuf panneaux.
Détail du vitrail du XVIe siècle

Selon la légende, Fiacre est le fils d'un roi d'Ecosse. Attiré par la vie religieuse, il refuse le mariage et s'embarque pour la France. A Meaux, il rencontre l'évêque qui lui donne, comme ermitage, tout ce qu'il pourra délimiter avec sa bêche en un jour. Au premier coup, le sillon se forme tout seul... Accusé d'être sorcier, il se justifie auprès de l'évêque. Plus tard, il sauve deux enfants qui se noyaient dans la Marne. Saint Fiacre est le patron des jardiniers. CI-DESSUS, saint Fiacre s'embarque pour la France. On notera la présence d'un cogge en haut du panneau (XVIe siècle).

LA CHAPELLE LATÉRALE SAINT-MARTIN
Chapelle Saint-MartinVitrail de la Crucifixion
La chapelle Saint-Martin
et son vitrail du XVIe siècle : «Le Christ en croix».
Sainte Madeleine au pied de la Croix, détail du vitrail Vitrail du XVIe siècle, 'le Christ en croix'

La chapelle Saint-Martin est illuminée par un très beau vitrail du XVIe siècle, «Le Christ en croix» ---»»
CI-DESSUS, détail du vitrail : sainte Madeleine au pied de la croix.
Cliquez sur une des images pour afficher le vitrail entier et en gros plan.

LE DOUBLE DÉAMBULATOIRE
Le déambulatoire de Saint-Pierre
Le magnifique déambulatoire de Saint-Pierre (vu depuis le côté sud).
De gauche à droite : la chapelle Sainte-Ève, la chapelle de la Vierge
(et ses chaises dans le déambulatoire extérieur), puis la chapelle du Sacré-Cœur
Les vitraux historiés (XVIe et XIXe siècles) y créent une atmosphère féerique, assez rare dans une église.
Le déambulatoire de Saint-Pierre
Le déambulatoire avec la chapelle de la Vierge à gauche
et la chapelle Sainte-Ève à droite (vu depuis le côté nord).
LA CHAPELLE AXIALE DE LA VIERGE
La chapelle de la ViergeXcènes de la Vie de Jésus, 1857Scènes de la Vie de Jésus, 19e siècleMort et Résurrection du Christ, 16e et 19e siècleScènes de la vie de Jésus, 16e sièclePanneaux d'origine diverse, 16e siècleScènes de la vie de Jésus, 16e siècleLa Vie desaint Fiacre, 16e siècle
La chapelle de la Vierge.

La chapelle de la Vierge est illuminée de sept vitraux, dont la moitié sont du XVIe siècle. Elle rappelle, en plus petit, la chapelle de la Mère de Dieu dans la cathédrale Notre-Dame à Évreux. Tous les vitraux sont donnés en gros plan dans la galerie des vitraux+.

Vitrail 'Les origines de la Vierge Marie', XVIe siècle
«Les origines de la Vierge Marie»
XVIe siècle.
Vitrail 'la vie de saint Fiacre', XVIe siècle
«Vie de saint Fiacre»
XVIe siècle.
Vitrail, 'Scènes de la vie de Jésus', XVIe siècle
«Scènes de la vie de Jésus»
XVIe siècle.
Vitrail du XVIe siècle, détail
«Scènes de la Vie de Jésus», vitrail de Pierre Courtous,
milieu du XVIe siècle, panneaux 3 et 4.
A gauche, Jésus est retrouvé au Temple, à droite, les Noces de Cana.
Vitrail du XVIe siècle, la vie de saint Fiacre, détail
«Vie de saint Fiacre», vitrail du XVIe siècle (détail)
La Becnaude accuse saint Fiacre de sorcellerie.
Vitrail 'Les origines de la Vierge Marie', XVIe siècle, détail
Vitrail «Les origines de la Vierge Marie», XVIe siècle, détail

Les origines de la Vierge. Le grand-prêtre du Temple refuse l'offrande de Joachim et d'Anne parce qu'ils n'ont pas d'enfant. (Pourtant ils sont tous les deux déjà assez âgés.)
Un ange annonce à Joachim la prochaine naissance d'un enfant. Un autre ange annonce à Anne qu'elle va avoir un enfant (détail ci-dessus).

LA CHAPELLE ABSIDIALE DE L'ENFANT-JÉSUS
chapelle de l'Enfant-JésusVitrail Scènes de la vie de JésusVitrail Scènes de la vie de quatre saintsScènes de la vie de Jésus
Chapelle de l'Enfant-Jésus et la partie gauche de la chapelle Notre-Dame-de-Pitié.
Les vitraux de la chapelle de l'Enfant-Jésus sont signés Eugène Moulin (XIXe siècle) :
«Scènes de l'Enfance du Christ» et «Vie des saints». Cliquez sur les vitraux pour les afficher en gros plan.
Vitrail 'La vie des saints', XIXe siècle, détail
Vitrail «Vie des saints», XIXe siècle.
Saint Eugène distribuant des aumônes aux pauvres.
LA CHAPELLE ABSIDIALE DU SACRÉ-CŒUR
Chapelle du Sacré-CoeurVitrail Arbre de JesséVitrail Scènes de la vie de Jésus
Chapelle du Sacré-Cœur.
Au centre, le vitrail de l'Arbre de Jessé (1877)
Vitrail 'l'Arbre de Jessé', XIXe siècle, détail, les Rois
Détail de l'Arbre de Jessé. Les Rois (1877).
Vitrail 'l'Arbre de Jessé', XIXe siècle
Arbre de Jessé (1877).
Vitrail 'La Vie de Jésus', XIXe siècle
Vie de Jésus (XIXe siècle).

La chapelle du Sacré-Cœur contient des vitraux du XIXe siècle. Celui de gauche vient rappeler la consécration de la ville de Dreux au Sacré-Cœur lors de la guerre de 1870. Celui de droite illustre la Vie de Jésus. Enfin, celui du centre est un Arbre de Jessé. Le panneau affiché dans la chapelle du Sacré-Cœur indique que cet Arbre est l'œuvre d'Eugène Moulin, datée de 1877, et qu'il s'inspire d'un vitrail du XVIe siècle de l'église de Saint-Georges-Motel dans l'Eure. C'est contraire à ce qu'écrit Etienne Madranges dans son ouvrage L'Arbre de Jessé, de la racine à l'esprit (Bibliothèque des Introuvables, 2007) selon qui cet Arbre date du XVIe siècle et ressemble beaucoup à celui de l'église de Le-Mesnil-Simon (même carton d'origine). On préférera la version du panneau.

Vitrail 'La Vie de Jésus', XIXe siècle, détail, la Samaritaine
Vie de Jésus (XIXe siècle) : la Samaritaine (détail).
LA CHAPELLE ABSIDIALE NOTRE-DAME-DE-PITIÉ
Chapelle Notre-Dame-de-Pitié
La chapelle Notre-Dame-de-Pitié.
Vitrail 'La Vie de la Vierge', XIX siècle

La chapelle Notre-Dame-de-Pitié comprend deux vitraux du XIXe siècle consacrés aux «mystères joyeux, douloureux et glorieux du Rosaire», c'est-à-dire à la Vie de la Vierge.       ----»»»
L'autel en marbre est l'ancien maître-autel de l'église.

LA CHAPELLE ABSIDIALE SAINTE-ÈVE
Chapelle Sainte-ÈveVitrail Vie de Sainte Thérèse, saint Urbain et saint BenoîtVie de saint Louis et de sainte Adèle
Chapelle Sainte-Ève.

La chapelle Sainte-Ève comprend deux vitraux du XIXe siècle consacrés à la vie de saints et de saintes : saint Urbain, sainte Thérèse d'Avila, saint Benoît, sainte Adèle et saint Louis.
L'autel vient de la chapelle du château de Crécy. Il renferme les reliques de sainte Ève, patronne de la ville de Dreux.


Vitrail 'Vie des saints et des saintes'
Vie de saint Louis et de sainte Adèle.
Vitrail du XIXe siècle.
Vitrail 'Vie des saints et des saintes', détail

««--- À l'extrême gauche,
Des prisonniers
sont délivrés à l'occasion de l'avènement
de saint Louis.
Vitrail du XIXe siècle.

«--- Ci-contre,
Sainte Adèle
reçoit le voile des mains
du pape Alexandre II.
Vitrail du XIXe siècle.

Le choeur, la nef et le croisillon sud de Saint-Pierre de Dreux
Le chœur, la nef et le croisillon sud de Saint-Pierre de Dreux.

Documentation : Brochure «Eglise Saint-Pierre de Dreux» + panneaux affichés dans l'église.
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